Une attaque par ransomware frappe toujours au pire moment : serveurs chiffrés, sauvegardes inaccessibles, systèmes à l’arrêt, pression des équipes, clients et partenaires inquiets… Dans ce contexte de crise, la question clé devient : combien de données pouvez-vous réellement récupérer, et en combien de temps ?
C’est précisément là que DATABACK intervient. Spécialiste français de la récupération de données après cyberattaques, DATABACK est appelé en renfort par des assureurs, des consultants cyber, des prestataires IT, des collectivités et des établissements de santé pour sauver ce qui semble, à première vue, définitivement perdu.
Avec des délais d’intervention allant du jour même à quelques semaines selon la complexité et des taux de récupération pouvant atteindre 99 %, leurs équipes redonnent de l’air à des organisations parfois à l’arrêt complet.
Ransomware : une crise technique… mais surtout une crise de continuité d’activité
Une attaque de type ransomware ne se limite pas au simple chiffrement de vos serveurs. Dans de très nombreux cas, les attaquants :
- chiffrent les serveurs de production;
- attaquent ou corrompent les sauvegardes en ligne;
- vont jusqu’à remonter les chaînes de sauvegarde et purger des jeux de sauvegarde pourtant protégés (rétention de plusieurs jours voire semaines) ;
- désorganisent vos équipes internes, déjà mobilisées sur la gestion de crise (technique, juridique, RH, communication, etc.).
Résultat : vous avez l’impression que tout est perdu. Plusieurs organisations accompagnées par DATABACK expliquent avoir, dans un premier temps, envisagé le pire : arrêt d’activité, perte données suite cyberattaque, impossibilité de redémarrer les services aux usagers ou aux patients, risque social et financier majeur.
Pourtant, dans ces situations extrêmes, les retours de terrain montrent qu’une récupération très importante est encore possible, à condition d’agir vite, avec la bonne méthode et les bons outils.
DATABACK : un spécialiste de la récupération de données après ransomware
Depuis plusieurs années, DATABACK intervient en France auprès :
- d’entreprises privées (PME, ETI, groupes),
- de collectivités territoriales et syndicats mixtes,
- d’associations et structures du secteur social,
- d’établissements de santé (cliniques, centres d’oncologie et de radiothérapie, structures de soin),
- de prestataires informatiques en première ligne auprès de leurs propres clients.
Les interventions sont fréquemment :
- recommandées par des assureurs cyber et leurs consultants;
- engagées sur conseil d’un prestataire IT régulier;
- ou encore suggérées à la suite d’échanges avec l’ANSSI dans le cadre de la gestion de crise.
Les témoignages convergent sur trois points forts : réactivité, technicité, process maîtrisé de bout en bout.
Un process rôdé : de la prise en charge du matériel à la restitution opérationnelle des données
Face à une attaque par ransomware, chaque heure compte. DATABACK a structuré un processus précis, pensé pour sécuriser vos données, gagner du temps et limiter l’interruption d’activité.
1. Prise de contact et premiers éléments de cadrage
Tout commence par un échange détaillé pour comprendre :
- la nature de l’attaque (ransomware, cryptolocker, purge de sauvegardes, etc.) ;
- les systèmes impactés (serveurs, NAS, PC, environnements virtuels, sauvegardes) ;
- les données critiques à prioriser (comptabilité, ERP, dossiers patients, fichiers métiers, bases AD…) ;
- les contraintes de délai liées à votre activité (continuité de service public, soins, production, logistique…).
À ce stade, l’objectif est double : sécuriser les supports concernés et poser un scénario d’intervention réaliste.
2. Envoi sécurisé du matériel par transporteur spécialisé
Les serveurs, disques, NAS ou baies de stockage sont ensuite :
- conditionnés de façon sécurisée ;
- pris en charge par un transporteur spécialisé habitué à manipuler des matériels sensibles ;
- acheminés vers les laboratoires de DATABACK.
Plusieurs clients témoignent d’envois massifs : « la moitié de notre infrastructure » ou encore des dizaines de serveurs, en un temps record.
3. Copie sécurisée et diagnostic immédiat
À réception, les équipes DATABACK démarrent immédiatement :
- la copie sécurisée des disques et systèmes, pour travailler à partir de clones (et ne jamais risquer d’endommager davantage les originaux) ;
- un diagnostic rapide du potentiel de récupération: serveurs, sauvegardes, fichiers, bases de données, etc.
Plusieurs témoignages soulignent une mise au travail dès la réception des supports, parfois au milieu de la nuit, pour gagner des heures précieuses sur le calendrier de reprise.
4. Déchiffrement des serveurs et sauvegardes chiffrées
C’est le cœur de la valeur ajoutée de DATABACK : sa capacité à exploiter des données chiffrées par l’attaquant, y compris lorsque :
- les sauvegardes ont été chiffrées ou corrompues;
- des jeux de sauvegarde ont été purgés malgré des rétentions annoncées (14 jours, par exemple) ;
- des environnements de sauvegarde type Veeam Backup ont été rendus illisibles.
Dans un cas réel, après un échec avec un premier prestataire, une collectivité a confié à DATABACK des sauvegardes Veeam chiffrées: l’intervention a finalement été couronnée de succès, permettant la reprise des services.
5. Reconstitution des données en croisant plusieurs supports
Dans les situations les plus complexes, DATABACK ne se contente pas d’un seul support. Les équipes :
- croisent les données issues de serveurs chiffrés;
- exploitent des sauvegardes partielles ou endommagées;
- réinjectent des éléments provenant d’autres médias de sauvegarde (NAS, disques externes, etc.) ;
- reconstruisent ainsi la quasi-totalité des données critiques, même lorsque l’attaque est allée très loin.
Un directeur informatique témoigne ainsi avoir pu reconstituer la quasi-totalité des données chiffrées en combinant les résultats fournis par DATABACK sur différentes sources.
6. Restitution des données et accompagnement au redémarrage
Une fois le périmètre récupérable validé, DATABACK organise :
- la restitution des données déchiffrées sur disques externes sécurisés ou autres supports convenus ;
- la mise en place d’environnements de travail prêts à recevoir ces données (par exemple, des serveurs remis à zéro par vos équipes, avec les systèmes et logiciels réinstallés) ;
- un accompagnement pas-à-pas pour remettre vos applications et vos utilisateurs en production.
Un responsable SI explique ainsi avoir reçu ses données utilisateurs sur disque externe sécurisé en moins de sept jours, après quoi il ne restait plus qu’à les copier sur les nouvelles partitions pour relancer l’entreprise.
Des délais d’intervention adaptés à l’urgence… et à la complexité du cas
Les délais observés varient en fonction :
- du volume de données à traiter;
- du nombre de serveurs et de sauvegardes impliqués;
- du niveau de corruption ou de chiffrement;
- des priorités métier que vous définissez avec les équipes DATABACK.
Les retours clients montrent cependant des délais de reprise très compétitifs:
| Type de situation | Exemples de délais constatés | Résultat obtenu |
|---|---|---|
| Intervention d’urgence, serveurs critiques limités en nombre | Intervention possible le jour même pour la prise en charge matérielle et le début des travaux. | Redémarrage rapide de services essentiels après récupération ciblée. |
| Serveurs chiffrés + sauvegardes à exploiter | Restitution de données en moins de 7 jours dans plusieurs cas. | Reprise de l’activité en un temps qualifié de « record » par les clients. |
| Environnements complexes, multi-serveurs, sauvegardes purgées | 2 à 3 semaines pour la récupération de la quasi-totalité des données. | Sauvetage de l’entreprise ou de services publics critiques, malgré une situation jugée désespérée au départ. |
Dans tous ces scénarios, un point ressort : sans intervention spécialisée, ces données auraient été considérées comme perdues.
Des taux de récupération très élevés : jusqu’à 99 % des données sauvées
Les témoignages d’entreprises, de collectivités et de structures de santé accompagnées par DATABACK font état de :
- récupérations de la quasi-totalité des données, y compris sur des jeux de sauvegarde chiffrés;
- cas où 99 % des données ont été récupérées, permettant de relancer rapidement des services municipaux ou des activités critiques ;
- dossiers qualifiés de « sauvés » par leurs dirigeants, qui parlent parfois d’« entreprise sauvée » grâce au travail des équipes.
Au-delà des chiffres, la véritable mesure du succès reste la même : la continuité d’activité est restaurée, les services au public, aux patients ou aux clients peuvent reprendre, et la crise se transforme en simple incident majeur maîtrisé.
Des preuves concrètes : ce que disent les clients après une attaque par ransomware
L’un des meilleurs indicateurs de la valeur d’un spécialiste, ce sont les retours de ceux qui ont traversé la crise. Voici quelques exemples de situations réelles où l’intervention de DATABACK a fait la différence.
Quand « tout semble perdu »… et que l’entreprise est finalement sauvée
Plusieurs dirigeants expliquent avoir fait appel à DATABACK dans un contexte de très forte pression :
- envoi de la moitié d’une infrastructure informatique via transporteur spécialisé, avec travail démarré dès la réception, parfois à 4 h du matin;
- entreprises convaincues qu’il n’y aurait aucune récupération possible après destruction de toutes les sauvegardes ;
- prestataires IT très inquiets pour les données de leurs propres clients, dans des situations inédites en plusieurs décennies de métier.
À l’arrivée, le retour est le même : données critiques récupérées, activité sauvegardée, clients soulagés, et la conviction d’avoir fait le bon choix en faisant intervenir un spécialiste.
Associations, collectivités, santé : lorsque les usagers et les patients dépendent de vos données
Les attaques par ransomware ne ciblent pas que le secteur privé. DATABACK a également accompagné :
- des associations dont le système d’information a été paralysé et dont les sauvegardes avaient été effacées ;
- des villes et collectivités, où la perte de données aurait eu un impact immédiat sur les services rendus aux usagers ;
- des structures de soin et centres d’oncologie, pour lesquels la récupération des données impacte directement le suivi des patients.
Dans ces contextes, les responsables évoquent une reprise rapide des services essentiels et soulignent la qualité de l’accompagnement humain: écoute, pédagogie, transparence sur l’avancement, capacité à rassurer les équipes internes.
Prestataires, DSI, RSSI : un partenaire technique en période de crise
De nombreux retours proviennent également de :
- DSI de groupes industriels et de services;
- responsables de SI de groupes logistiques ou de transport;
- prestataires informatiques qui gèrent les infrastructures de leurs propres clients.
Ces acteurs, pourtant très techniques, font appel à DATABACK lorsqu’il s’agit de :
- récupérer des sauvegardes chiffrées ou corrompues;
- exploiter des disques ou serveurs critiques fortement impactés;
- travailler en parallèle d’investigations forensiques menées par d’autres spécialistes.
Ils insistent sur la complémentarité: pendant que certains prestataires enquêtent sur l’origine de l’attaque et les vecteurs de compromission, DATABACK se concentre sur une mission claire : récupérer le maximum de données, le plus vite possible, pour permettre la reprise d’activité.
Pourquoi faire appel à un spécialiste plutôt que gérer seul la récupération après ransomware ?
Au lendemain d’une attaque, la tentation est parfois grande de tout gérer en interne ou avec ses prestataires habituels. Pourtant, les retours d’expérience montrent plusieurs limites à cette approche.
1. Des techniques de chiffrement et d’effacement de plus en plus complexes
Les groupes cybercriminels :
- utilisent des algorithmes de chiffrement évolués;
- attaquent directement les infrastructures de sauvegarde;
- connaissent les logiciels et architectures utilisés en entreprise (hyperviseurs, solutions de backup, NAS, etc.).
Face à ces attaques sophistiquées, les outils classiques de sauvegarde et de restauration ne suffisent plus. Il faut des compétences spécifiques en récupération de données, au-delà de l’administration système ou réseau.
2. Un risque réel d’aggraver la situation
Des tentatives de réparation mal maîtrisées peuvent :
- écraser des blocs de données encore récupérables ;
- altérer des méta-données indispensables à la reconstruction ;
- rendre plus complexe, voire impossible, le travail ultérieur d’un spécialiste.
C’est pourquoi une bonne pratique consiste, dès le diagnostic posé, à sécuriser les supports et limiter au maximum les manipulations non maîtrisées avant l’intervention d’un expert de la récupération.
3. Gagner des jours (voire des semaines) sur la reprise d’activité
En confiant le volet « récupération de données » à DATABACK, vos équipes et vos prestataires peuvent se concentrer sur :
- le nettoyage et le durcissement des systèmes;
- la reconstruction de l’architecture cible;
- la coordination avec les équipes métiers, la direction, les autorités et les assureurs.
Cet effet levier est décisif : au lieu d’attendre des jours pour savoir ce qui est récupérable, vous avancez en parallèle sur la reconstruction, puis injectez les données nettoyées dès qu’elles sont restituées.
Que se passe-t-il concrètement pour vos équipes pendant l’intervention ?
Une fois le matériel pris en charge par DATABACK, vos équipes internes restent au centre du jeu. Voici comment se déroule généralement la collaboration.
Un suivi régulier et transparent
Les clients soulignent :
- des points réguliers sur l’état des données récupérables ;
- des explications claires, sans jargon inutile, sur les options techniques et les arbitrages possibles;
- une disponibilité élevée des équipes DATABACK pour répondre aux interrogations, même dans un contexte émotionnellement chargé.
Une priorisation « métier » des données à restituer
Plutôt que de tout traiter de façon indifférenciée, DATABACK travaille avec vous pour :
- définir les périmètres prioritaires (par exemple, dossiers patients, comptabilité, paie, production, flux logistiques, Active Directory, etc.) ;
- organiser la restitution progressive: d’abord le vital pour la continuité d’activité, puis le reste ;
- optimiser les délais en tenant compte de vos contraintes opérationnelles.
Cette démarche permet aux organisations de redémarrer par étapes, au lieu d’attendre que 100 % des données soient reconstituées.
Qui devrait envisager DATABACK en cas de ransomware ?
Les profils d’organisations ayant déjà fait appel à DATABACK couvrent un large spectre :
- PME et ETI industrielles ou de services: forts enjeux de production, de logistique et de relation client ;
- collectivités territoriales et syndicats mixtes: continuité du service public, gestion des usagers, urbanisme, finances, RH ;
- associations et structures du secteur social: prise en charge des publics fragiles, suivi administratif et financier ;
- établissements de santé et structures médico-sociales: suivi de traitements, dossiers patients, imagerie, planification ;
- prestataires informatiques et infogéreurs: porteurs de la responsabilité opérationnelle des SI de leurs clients.
Dans tous les cas, le point commun est le suivant : l’activité dépend directement de données numériques devenues inaccessibles suite à un ransomware. Si c’est votre cas, l’expertise de DATABACK peut faire la différence entre une crise grave mais maîtrisée, et un scénario de catastrophe durable.
Que faire dès maintenant si vous êtes en situation d’attaque ?
Si vous faites face à une cyberattaque en ce moment même, quelques réflexes peuvent maximiser vos chances de récupération :
- Préservez les preuves et les supports: évitez d’éteindre brutalement les systèmes ou de lancer des opérations de nettoyage non maîtrisées.
- Limitez les écritures sur les disques potentiellement récupérables (ne réinstallez pas de système dessus, n’y copiez pas de nouveaux fichiers).
- Documentez au maximum ce que vous constatez (messages de rançon, extensions de fichiers, comportements anormaux).
- Alertez vos interlocuteurs clés: DSI, prestataire IT, assureur cyber, et, si nécessaire, les autorités compétentes.
- Envisagez rapidement l’intervention d’un spécialiste de la récupération de données pour sécuriser les supports et évaluer le potentiel de restauration.
Chaque heure compte, mais chaque action compte aussi : une bonne gestion des premières étapes augmente sensiblement le taux de réussite des opérations de récupération.
Récupérer, redémarrer, renforcer : transformer la crise en opportunité d’amélioration
Une fois l’urgence passée et les données rendues, beaucoup d’organisations utilisent ce retour d’expérience pour :
- repenser leur stratégie de sauvegarde (segmentation, déconnexion, rétention, tests de restauration réguliers) ;
- renforcer la sécurité de leurs systèmes (segmentation réseau, MFA, supervision, mises à jour, etc.) ;
- mettre à jour leurs plans de continuité et de reprise d’activité;
- clarifier les rôles et responsabilités en cas de crise entre DSI, direction, métiers, prestataires et assureurs.
Dans ce schéma, DATABACK devient non seulement le spécialiste qui a récupéré vos données, mais aussi un partenaire de confiance capable de partager les enseignements d’interventions précédentes dans des contextes très variés (entreprises, collectivités, santé, associations, etc.).
En résumé : pourquoi DATABACK est un allié décisif après une attaque par ransomware
- Réactivité éprouvée: prise en charge rapide, y compris de nuit, avec envoi de matériel par transporteur spécialisé.
- Process sécurisé et maîtrisé: copie des disques, diagnostic rapide, travail sur clones pour préserver les supports d’origine.
- Haute technicité: déchiffrement de serveurs et de sauvegardes chiffrées, y compris lorsque des jeux de sauvegarde ont été purgés.
- Capacité à reconstituer la quasi-totalité des données en croisant plusieurs supports (serveurs, NAS, sauvegardes, médias externes).
- Délais adaptés à l’urgence: de l’intervention le jour même à des restitutions en moins de sept jours ou en 2–3 semaines, selon la complexité.
- Taux de récupération très élevés: jusqu’à 99 % des données sauvées dans certains cas documentés.
- Reconnaissance du marché: interventions recommandées par des assureurs, des consultants cyber, des prestataires IT et signalées dans le cadre d’échanges avec l’ANSSI.
- Accompagnement humain: écoute, pédagogie, transparence et soutien dans un contexte souvent très stressant pour les équipes.
Face à un ransomware, vous n’êtes pas condamné à repartir de zéro. Avec les bons réflexes et l’appui d’un spécialiste comme DATABACK, il est possible de récupérer vos données critiques, relancer vos activités et transformer une crise majeure en épisode maîtrisé.
Si vos serveurs sont chiffrés, si vos sauvegardes semblent perdues ou si l’on vous dit qu’il n’y a plus rien à faire, gardez en tête qu’un diagnostic spécialisé peut changer radicalement la donne. Dans de nombreux cas, les organisations qui pensaient avoir tout perdu ont finalement vu leur activité sauvée grâce à une récupération de données menée avec méthode, expertise… et beaucoup de réactivité.